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Guatemala (2)

J48 - dimanche 23 février 2020 – Santa Cruz Del Quiché – matin = Visite marché Chichicastenango (bus AR) – AM (vélo) = ruinas du Gumarkaaj – cathédrale de Santa Cruz Del Quiché et Processions du jour de Jesus (dernier dimanche avant le début du carême)

Distance parcourue : 11,60 Km - Moyenne : 10,76 Km/h

Dénivelé montant : 151 m - Pente montante Maxi : 15 %

Dénivelé descendant : 151 m - Pente descendante Maxi : 15 %

Altitude départ : 2010 m - Altitude arrivée : 2010 m - Altitude Maxi : 2030 m

Heure de réveil : 7h30 - Heure de départ : 8h30 - Heure d'arrivée : 18h00

Il n’y a pas de trace aujourd’hui.

Hier soir nous nous sommes donnés rendez-vous avec Jean-Claude vers 9 heures devant l’église Santo Tomas à Chichicastenango. La pause est la bienvenue pour moi car je suis barbouillé depuis hier et je n’ai pas d’appétit. J’ai probablement mangé quelque chose qui ne me convenait pas. Rien de grave pour l’instant et une petite diète jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre me semble être un bon traitement. Je n’ai pas diné hier soir mais j’ai profité de l’eau chaude à disposition à l’hôtel pour me faire des infusions (une hier soir et deux dans la nuit). Je me sens mieux ce matin et avec le soleil le thermomètre affiche des températures plus engageantes (18 degrés dans la chambre et quelques degrés de plus dehors à l’ombre).

Vers 8h30 je suis les consignes des jeunes et très sympathiques jeunes filles de la réception. Je me mets au bord de la route devant l’hôtel pour faire signe aux bus qui passent de s’arrêter. C’est en ligne droite et sans « Tumulos » (demi rond sur la chaussée pour obliger les véhicules à passer au pas). Pendant quelques minutes aucun bus ne passe. Il en passe ensuite deux en moins d’une minute mais aucun ne tient compte de moi. Deux minutes plus tard un troisième bus arrive. Le panneau en haut du pare-brise indique bien Chichicastenango (les gens simplifient en disant simplement Chichi). Celui-ci s’arrête très brièvement et les deux assistants du chauffeur me poussent à l’intérieur et courent ensuite pour sauter dans le bus qui est déjà reparti. Le conducteur a une conduite très nerveuse et ces assistants tirent régulièrement une des deux chaînes qui actionnent le klaxon (une côté conducteur et une devant les assistants qui restent debout à sa droite). Le bus est bondé et il y a trois personnes sur chaque banquette prévue pour deux plus une personne debout dans l’allée. Tout le monde est donc bien calé par ses voisins et le chauffeur ne semble du tout se préoccuper du confort de ses passagers. J’ai eu la chance de prendre la dernière place assise sur le bord d‘une banquette à l’avant du bus. Un assistant passe dans les allées malgré les secousses et le bus bondé. Pour moi c’est 5 Cordobas (même prix pour le retour). Je réussis à éviter les chutes en me cramponnant à deux mains à la barre verticale. Après beaucoup de frayeurs nous arrivons entiers et intacts à Chichicastenango. J’ai déjà prévenu Jean-Claude de mon arrivée et je me dirige vers l’Eglise Santo Tomas où il m’attend. Il y a un office dans l’église avec des fleurs sur les marches et des gens qui brûlent des herbes (quelque chose qui fait de la fumée) dans des encensoirs (petits bidons avec un fils de fer en guise de poignée).

Le marché se concentre autour de l’église et il y a de tout. Des ustensiles pour les locaux et de produits artisanaux pour tous. Les amérindiens sont le plus souvent habillés avec les costumes traditionnels. Il y a quelques occidentaux comme nous mais la majorité des gens présents ici sont des locaux (amérindiens ou hispaniques). Les amérindiens sont facilement reconnaissables à leurs costumes et à leurs petites tailles.

Comme toujours sur ce type de marché nous sommes abordés par des vendeurs qui cherchent les occidentaux. La police touristique est très présente sur le marché. Ils ont mis en garde Jean-Claude ce matin au sujet des pickpockets. Nous faisons une visite du marché qui grouille de monde et achetons quelques bricoles. Comme sur beaucoup de marché de ce type qui visent de plus en plus les touristes occidentaux beaucoup de vendeurs parlent un peu toutes les langues (comme à Sapa au Vietnam, Site archéologique d’Angkor au Cambodge etc..). Lorsque nous revenons à l’église Santo Tomas Jean-Claude constate que son porte-monnaie a disparu de sa poche. Heureusement pour lui il n’avait dedans qu’une petite somme, les plus gros billets étant ailleurs. Il a portant gardé la main sur la poche presque tout le temps mais il est facile à un pickpocket de profiter d’une bousculade pour subtiliser un porte-monnaie.

Vers 10h45 nous avons tout vu et je reprends le bus en sens inverse pendant que Jean-Claude se rend à son hôtel afin de récupérer vélo et bagages et de rejoindre Santa Cruz Del Quiché où nous passerons encore une nuit dans le même hôtel. Je reprends le bus en sens inverse. Le retour n’est pas grand confort mais le chauffeur semble être plus calme que celui du voyage aller.

Je me fais arrêter en ville (environ 15 minutes à pieds après l’hôtel) pour acheter une boisson énergisante qui remplacera peut-être la nourriture jusqu’à ce que mon estomac veuille bien accepter quelque chose. Je rentre tranquillement à l’hôtel et je trouve la chambre faite et les vêtements que j’avais laissés sur le lit pliés. La réceptionniste me donne une serviette propre, un savon et une dose de shampoing. Ce n’est pas la même qu’hier mais les présentations ont été faites ce matin avant que ne parte. Elle est en costume amérindien alors que celle d’hier soir était vêtue à l’occidental. Elle est tout aussi aimable et souriante que sa collègue. La chambre n’a rien d’exceptionnelle mais l’accueil l’est.

Jean-Claude arrive rapidement et, au moment de payer, la jeune fille nous demande 100 Cordobas pour deux personnes. Le panneau d’affichage est un peu ambigüe avec le texte suivant « sabado y domingo 50 cordobas per persona ». Lorsque la réceptionniste m’a dit hier que la nuit suivante serait à 80 Cordobas j’en ai conclu que « Sabado y Domingo » signifiait la nuit de samedi à dimanche. Cela ne semble pas être le cas et les nuits du samedi au dimanche et du dimanche au lundi semblent toutes les deux à prix promotionnel.

L’après-midi nous partons en vélo en direction des ruines de Gumarkaay. Le site n’est pas loin de la ville mais il y a quand même quelques inévitables pentes supérieures à 13%. Sans les bagages c’est plus facile et nous y arrivons sans trop de mal. L’entrée sur le site est à 5 Cordobas pour les Guatémaltèques et à 30 Cordobas (3,75 Euros) pour les étrangers. Il y a petit musée avec quelques gravures et des explications sur le jeu de paume qui consistait à faire passer une balle en caoutchouc dans un cercle de pierre. Les règles étaient en réalité un peu plus complexes mais c’est le principe du jeu qui se jouait en duo. Le duo gagnant avait le privilège d’être décapité le lendemain. Ceci devait être un honneur car ils rejoignaient ensuite Mars et Venus et brillaient éternellement dans le ciel la nuit. Il ne reste que peu de bâtiment du site mais il vaut quand même le détour. Le cadre est superbe avec de très grands arbres. Il semble être un lieu recherché des citadins qui viennent y passer une journée au frais sous les arbres avec la famille et les enfants qui jouent au ballon. Les nuits sont très fraiches mais le thermomètre dépasse le 30 degrés la journée quand il est présent ce qui est le cas aujourd’hui.

Jean-Claude veut ensuite passer à la cathédrale et nous avons du mal à nous faire expliquer où elle est exactement. Elle est en face du calvaire qui figure sur les cartes Google. A quelques distances de la cathédrale nous trouvons des rues barrées avec un fils mais circulable en vélo et à pieds. Ces rues sont jonchées de motifs avec des fleurs, des herbes et de la sciure. Un groupe qui représente Jésus et ses disciples (je pense) est prêt pour un défilé procession au travers des rues pavées de fleurs. Nous continuons ensuite jusqu’à la cathédrale d’où vient de s’ébranler une grande procession. Des pénitents portent à l’épaule une construction importante sur laquelle est dressée une croix avec une statue de Jésus qui la porte. Il y a aussi d’autres décors. L’édifice avance très lentement avec un groupe de six personnes que le font reculer parfois. Il est en queue de procession et précédé par une fanfare et des porteurs de bannières. Les porteurs de Jésus et sa croix changent suivant les quartiers traversés et les porteurs de bannières deviennent plus nombreux. C’est aussi un fête pour les enfants qui s’aspergent et nous aussi car nous sommes remarqués. Ce n’est pas difficile car nous sommes les seuls citoyens occidentaux présents ici. L’ambiance est très bon enfant et les gens, de toutes origines, sont souriants et beaucoup veulent échanger quelques mots avec nous. Cette procession à lieu tous les ans le derniers dimanche avant le début du carême qui commence mercredi. Le temps passe et la fraicheur commence à tomber. Nous rentrons au « chaud » (avec un ou deux pulls) à l’hôtel ?

Pour demain il y a des options plus faciles que ce que j’avais préparé. Nous pouvons faire le parcours jusqu’à Huehuetenango en deux étapes en passant par Sacapulas, un premier de 50 kilomètres D+ = 800 mètres et un deuxième de 63 kilomètres avec D+ 1580 mètres et des pentes raides courtes et réparties sur le parcours.

En dernier recours il y a l’option bus qui ne coûte pas cher mais qui n’est pas sans risque ni de tout repos.

J49 - lundi 24 février 2020 – Santa Cruz Del Quiché - Huehuetenango

Distance parcourue : 73,84 Km - Moyenne : 9,71 Km/h

Dénivelé montant : 1821 m - Pente montante Maxi : 14 %

Dénivelé descendant : 1945 m - Pente descendante Maxi : 13 %

Altitude départ : 2010m - Altitude arrivée : 1886 m - Altitude Maxi : 2142 m

Heure de réveil : 6h50 - Heure de départ : 8h10 - Heure d'arrivée : 18h30

Hôtel = Hotel Casa Del Viajero - chambre deux lits – salle de bain partagée avec deux chambres – douche chaude – Wifi – vélo en sécurité dans cour fermée – 130 Cordobas (au départ 150 Cordobas mais négociée à 130)

Réveil un peu tardif vers 6h50 ce matin mais il fait frais au lever du jour à cette altitude et il est préférable d’attendre que le soleil ait un peu fait monter la température pour prendre le départ. Jean-Claude s’est renseigné hier sur les bus qui relient Sant Cruz Del Quiché à Huehuetenango. Il y en a toutes les deux heures et le prix dans un minibus est de 20 Cordobas + 10 Cordobas pour le vélo (total moins de 4 Euros). Il a décidé cette nuit de faire la route en bus aujourd’hui. Je ne suis pas en pleine forme mais je décide de tenter ma chance en vélo. Ce sera un parcours en un jour ou en deux jours si je passe à Sacapulas. Je prendrai la décision le moment venu. Le carrefour est au kilomètre 27.

Le début du parcours jusqu’au kilomètre 25 est une succession de montées et de descentes. C’est plus montant que descendant. Le point haut est à 2142 mètres. Le revêtement est très mauvais sur les 10 premiers kilomètres. Il est ensuit bon jusqu’au kilomètre 24 environ puis redevient mauvais après une partie sans goudron. Je m’arrête au kilomètre 24 pour acheter des oranges et j’en profite pour demander quelle est la route la meilleure pour rejoindre Huehuetenango. On me répond que c’est la route sur la gauche après la station-service deux kilomètres plus loin. C’est celle qui était prévue du départ sans hôtel sur le parcours et un profil très tourmenté. Jean-Claude, qui est déjà arrivé avec son bus, m’a envoyé plusieurs messages qui me confirment que cette route a un bon revêtement.

Je m’arrête dans un restaurant au carrefour et je commande du riz et une salade. L’assiette de salade et crudités est énorme mais je ne la touche car après le bol de riz je ne peux plus rien avaler. Je continue ensuite sur la RD-Hue 15 (itinéraire prévu au départ) avec deux options. Soit arriver avant la nuit, soit bivouaquer. J’ai acheté deux sachets de nouilles chinoises lors d’un de mes nombreux arrêts du jour et cela devrait suffire en cas de bivouac. Le parcours est très vallonné avec régulièrement des pentes entre 10 et 12%. Je ne suis pas non plus en grande forme et j’avance en économisant mes forces au maximum. La moyenne est anormalement basse mais je pense pouvoir arriver avant la nuit.

J’entre dans la ville de Huehuetenango à la tombée de la nuit. Jean-Claude me donne le nom et l’adresse de l’hôtel où il a réservé une chambre à deux lits pour une nuit. Je fais quelques erreurs de parcours dans la ville (pas facile la nuit) et je rejoins Jean-Claude plus tard que prévu.

Jean-Claude a visité le site archéologique de Zacapu aujourd’hui. Il vaut le détour et il pense qu’on peut tout voir en une trentaine de minutes. Il ouvre demain matin à 8 heures et je ferai la visite avant le parcours du jour qui nous conduira à La Mesia, ville frontière avec le Mexique, en 85 kilomètres environ. La Mesia est à une altitude inférieure de 1000 mètres à celle de Huehuetenango. Le parcours sera donc plus descendant que montant sans pour autant être sans montée. Locus donne plus de 1000 mètres de dénivelé montant. Cela semble faire beaucoup pour le profil qui est en descente entrecoupé de très nombreuses petites montées. On verra cela demain.

 

 

J50 - mardi 25 février 2020 - Huehuetenango – La Mesia

Distance parcourue : 87,39 Km - Moyenne : 15,35 Km/h

Dénivelé montant : 564 m - Pente montante Maxi : 6 % (12% sur 100 mètres pour aller au site Zacapuleu)

Dénivelé descendant : 1520 m - Pente descendante Maxi : 6 % (12% sur 100 mètres pour revenir du site Zacapuleu)

Altitude départ : 1886 m - Altitude arrivée : 930 m - Altitude Maxi : 1933 m

Heure de réveil : 6h35 - Heure de départ : 7h20 (9h10 après visite site Zacapuleu)  - Heure d'arrivée : 16h00

Hôtel = Hotel Camilla – très belle chambre avec deux grands lits – climatisation – eau chaude – wifi – deux bouteilles d’eau dans la chambre – vélo dans garage devant la réception – 200 Cordobas (environ 25 Euros)

Réveil vers 6h35 ce matin et départ de l’hôtel vers 7h20. Nous prenons la direction du site de Zacapuleu que Jean-Claude à visité hier. Ce n’est pas très loin de la ville de Huehuetenango ni de notre itinéraire du jour. Nous prenons le petit déjeuner avec un café et des viennoiseries dans une panadéria (boulangerie). Après deux montées dont une à 12% nous arrivons sur le site archéologique de Zacapuleu qui ouvre à 8 heures. Le prix de l’entrée pour les étrangers est de 50 Quetzals (6,25 Euros). Jean-Claude a déjà fait la visite hier et il reste à côté des vélos pendant que je fais le tour du site. Quelques bâtiments ont été reconstruits ou consolidés mais ceci a été fait avec du mortier ce qui n’est certainement pas un matériau utilisé à l’époque de leur construction. A défaut de rendre aux bâtiments leur aspect d’origine ces travaux ont quand même permis de leur redonner leurs formes et dimensions. Le site est dans un très beau cadre. Il y a très peu de monde et c’est très calme. Le musée ressemble beaucoup à celui du site que nous avons visité dimanche à coté de Santa Cruz Del Quiché. La visite du musée et du site est bouclée en 45 minutes et nous commençons notre parcours du jour vers La Mesia (ville à la frontière mexicaine) à 9h10.

Le parcours est globalement descendant mais nous attaquons assez vite une montée à 5 ou 6%. Il y a des partie plates ou légèrement montantes (jusqu’à 2%) tout au long de la descente. Nous avons un petit vent de face sur tout le parcours qui nous oblige parfois à pédaler un peu lorsque la descente ne dépasse pas les 1%.

Je n’ai toujours pas d’appétit mais je ne renouvelle pas l’expérience « boissons énergisantes » que mon estomac ne semble pas apprécier. Je trouve par contre régulièrement des yaourts à boire. Ça passe bien et ce sera ma nourriture pour aujourd’hui. Jean-Claude prend un bon déjeuner vers 13 heures au kilomètre 68 et moi j’ingurgite ma troisième bouteille de yaourt à boire.

Le parcours se termine comme il a commencé par une montée d’environ 6 kilomètres. La première moitié et très facile. Ce sont des pentes de 2% maxi avec quelques parties plates. Ça devient plus sérieux sur la deuxième moitié avec des pentes de 5 à 6%. Les deux ou trois derniers kilomètres dans la ville de la Mesia sont en descente. L’ensemble des montées du jour reste facile et c’aura été aujourd’hui un parcours sans difficulté et agréable car la route suit un ruisseau et elle presque toujours enserrée entre les montagnes.

Il y a beaucoup d’hôtel à La Mesia. J’en visite quelques-uns pendant que Jean-Claude surveille les vélos tout en regardant la télé dans une boutique. Le premier est basique et il propose une chambre à deux lits avec ventilateur, wifi et salle de bain partagée sans eau chaude (à voir, nous sommes quand même à plus de 900 mètres d’altitude) à 50 Cordobas par personne. Le deuxième est un bâtiment neuf avec une belle réception. Un homme à la réception me propose une chambre à deux lits avec ventilateur, wifi et eau chaude. Il me fait visiter la chambre et me dit que c’en est une avec climatisation mais qu’il me laisse au même prix. La chambre est à l’image du bâtiment et de la réception. C’est très bien et tout est fonctionnel. Il y a également une cour qui ferme avec sur le côté une partie abritée où nous pourrons garer nos vélos. J’en visite un troisième qui propose des chambres avec ventilateur à 150 Quetzals ou avec climatiseur à 175 Quetzals. L’hôtel à 200 Quetzals est celui qui propose de très loin le meilleur rapport qualité/prix. Nous nous installons donc à l’hôtel Camilla (logo CA très ressemblant à celui du crédit agricole) pour notre dernière nuit au Guatemala.

Demain matin nous passerons la dernière frontière de notre parcours et nous serons ensuite au Mexique pour plus de quarante jours. Le parcours du jour nous conduira aux cascadas « El Chiflon » après environ 90 kilomètres de route. Ce devrait être un peu plus vallonné qu’aujourd’hui mais sans grande difficulté.

 

Bilan Guatemala

Vélo

443,81 Kilomètres – 7 900 mètres de dénivelé positif – 7 011 mètres de dénivelé négatif

 

Argent

Jours et nuits au Guatemala =8

Dépenses totales = 1565 Quetzals (197,16 Euros)

Dépenses exceptionnelles (visites, achats etc..) = 290 Quetzals (36,63 Euros)

Dépenses nourritures et logement = 1 275 Quetzals (160,62 Euros)

Dépenses totales par jour = 195,63 Quetzals (24,64 Euros)

Dépenses nourriture et logement par jour = 159,38 Quetzals (20,08 Euros)

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