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Honduras

J35 - lundi 10 février 2020 – Somotillo (Nicaragua) – Choluteca (Honduras)

Distance parcourue : 51,19 Km - Moyenne : 15,95 Km/h

Dénivelé montant : 361 m - Pente montante Maxi : 6 %

Dénivelé descendant : 262 m - Pente descendante Maxi : 4 %

Altitude départ : 51 m - Altitude arrivée : 50 m - Altitude Maxi : 105 m

Heure de réveil : 6h05 - Heure de départ : 7h30 - Heure d'arrivée : 12h00

Hôtel = hotel Pacifico – chambre deux lits – climatisation – douche froide – wifi – vélo dans cour fermée – 500 Lampiras (environ 20 Euros)

Monnaie du Honduras = Lampira – 1 Euro = environ 26 Lampiras

Rien ne nous presse ce matin car le parcours prévu est court. De plus la frontière est proche et elle n’ouvre probablement pas très tôt. Cependant les bruits des camions sur la route nous réveillent régulièrement à partir de 4 heures du matin. Nous nous demandons un peu où ils vont car la route qui traverse Somotillo et qui passe devant l’hôtel va vers Guasaule où elle est barrée par la frontière entre le Nicaragua et le Honduras. Peu importe où ils vont mais ils sont bruyants et nous quittons les lits vers 6 heures. Cela fait quand même une bonne nuit car nous nous sommes mis au lit vers 21 heures hier soir.

Nous quittons l’hôtel un peu avant 7 heures et la ville vers 7h30 après avoir pris notre petit-déjeuner dans un petit restaurant de rue devant l’hôtel.

Nous arrivons rapidement et facilement à la frontière qui est au kilomètre 6,5 environ. Deux kilomètres avant de quitter le Nicaragua nous commençons à doubler la longue file de camions qui attend. Nous savons maintenant où allait les camions qui ont commencé à circuler tôt ce matin. Les chauffeurs doivent essayer d’arriver très tôt pour être en début de file à l’ouverture du contrôle des douanes et de l’immigration. Ceci n’est pas un problème pour nous ni pour les rares voitures qui comme nous doublent les camions.

Il y a des changeurs de monnaie avant le poste d’immigration de sortie du Nicaragua. Ils proposent 71 Lampiras pour 100 Cordobas. C’est un bon change car j’ai fait le calcul hier soir avec les cours des deux devises par rapport à l’Euro. Le résultat donnait 0,722 Lampira pour 1 Cordoba. La marge du changeur ne serait donc que de 1,5% environ pour le change des Cordobas en Lampiras. Les changeurs proposent probablement un moins bon taux pour ceux qui font le change inverse (Lampiras contre Cordobas). Ceci semble normal que ces changeurs Nicaraguayens préfèrent probablement avoir leurs bénéfices en Cordobas qui est la monnaie de leur pays de résidence. Nous ne changeons pas au premier passage et allons d’abord faire nos formalités d’immigration pour le cas où il faille payer une taxe en Cordobas.

On nous a donné un formulaire pour les douanes quelques centaines de mètres avant le poste de sortie du pays. Il faut le remplir mais ce n’est qu’une formalité administrative. Il y a bien un tapis pour passer les bagages aux rayons mais la personne qui s’en occupe signe le papier sans même regarder nos vélos et bagages. Les formalités de sortie ne sont pas compliquées non plus. Il faut payer une taxe de sortie de 2 USD et attendre que le passeport soit lu par le système informatique. Il n’y a pas de tampon sur le passeport à la sortie du Nicaragua. Un reçu nominatif est délivré pour la taxe de 2 USD ainsi qu’un autre document pour nous deux dont j’ignore à quoi il sert.

Nous revenons ensuite vers les changeurs pour transformer ce qu’il nous reste de Cordobas en Lampiras. Les changeurs prennent aussi les USD qu’ils achètent 24 Lampiras contre un USD. Ce taux est également correct et meilleur pour nous que l’utilisation de la carte de crédit pour le retrait d’un montant modeste correspondant à ce que nous estimons avoir besoin pour les deux jours et demi que nous passerons au Honduras.

Il y a encore deux rapides contrôles avant la sortie du pays. L’agent qui est au premier contrôle garde le reçu de paiement de la taxe de sortie et le deuxième le formulaire signé par les douanes.

Nous traversons ensuite un pont qui enjambe la rivière qui sert de frontière. Il y a également des changeurs devant le poste d’immigration mais le taux proposé est beaucoup moins bon. Ici on nous propose 60 Lampiras contre 100 Cordobas. Ceci représente une marge de 20% pour le vendeur. Ce change est vraiment très mauvais mais le vendeur nous demande de lui proposer notre prix. Nous n’avons plus de Cordobas et ne poussons pas la conversation plus loin.

Le guichet auquel nous nous présentons en premier n’est pas équipé pour nos passeports biométriques. On nous envoie vers un autre guichet. Il est vide pour l’instant mais un agent y prend place très rapidement. Il n’y a pas de question ni de formalités complexes pour entrer au Honduras. Le passeport est introduit dans un scanner et la correspondance des empreintes digitales (tous les doigts) et de la photo est vérifiée. Il faut payer une taxe de trois USD par personne qui correspond au frais d’entrée. Un reçu est délivré et le cachet d’entrée est apposé sur nos passeports par une imprimante. Il n’y a aucun autre contrôle et nous pouvons prendre la route. Il n'est alors que 8 heures et 35 minutes.

La route est bonne et le pays semble plus riche que le Nicaragua. Les quelques maisons que nous voyons sur le bord de la route sont bien construites et en dur alors que nous avons pris notre premier repas au Nicaragua dans une cabane en planches qui avait un sol de terre battue avec les poules et les canards qui picoraient à l’intérieur.

Nous faisons une pause boisson vers le kilomètre 25 pour avoir une idée des prix. Le coca en bouteille verre (moins cher car la bouteille est récupérée) coûte 13 Lampiras soit exactement 0,50 Euros. C’est un prix comparable avec ce que nous avons connu au Nicaragua. Plus loin un vendeur propose des jus naturels en sachets plastiques. Au Nicaragua nous avons invariablement payé 10 Cordobas pour un sachet. Ici c’est 10 Lampiras (environ 0,38 Euro) ce qui correspond à 13,85 Cordobas. Si ce prix se confirme ce produit coûte donc ici 38,5% de plus qu’au Nicaragua.

Nous continuons ensuite jusqu’à la ville de Choluteca que nous atteignons avant midi. Nous pourrions enchainer avec le parcours prévu pour demain qui ne fait que 55 kilomètres et arriver à Nacaome probablement vers 16 heures. Cependant nous ne sommes pas en retard sur notre programme et une demi-journée de repos ne devrait pas nous faire de mal. Nous attaquons donc notre recherche d’hôtel. Il y en a beaucoup dans la ville et ceux que nous visitons sont un niveau en dessus de ceux que nous avons fréquentés au Nicaragua. Ils proposent tous des chambres avec air conditionné. Les deux premiers ont des chambres à deux lits à 600 Lampiras (environ 23 Euros) la nuit. Le troisième est plus cher à 690 Lampiras et nous ne visitons pas la chambre. Juste en face l’hôtel Pacifico nous propose une chambre à 550 Lampiras. Je visite la chambre mais elle est moins bien que les deux que j’ai déjà vues. Ceci doit se voir sur mon visage car le prix baisse à 500 Lampiras (environ 19,30 Euros). La chambre est petite mais elle nous convient et nous nous installons ici pour la nuit. Il y a la climatisation, la télé (que nous ne regardons jamais), une salle de bain avec douche froide, le wifi (que l’on capte mal dans la chambre mais la connexion est rapide à la réception) et les vélos sont dans une cour devant la chambre. La cour est fermée et cadenassées avec un gardien qui n’ouvre qu’aux clients de l’hôtel.

Après la douche nous allons déjeuner dans un petit restaurant à côté du marché. Nous faisons ensuite un petit tour en vélo dans la ville. Certaines grandes artères sont bien encombrées. Vers 17 heures nous revenons sur le marché pour acheter un repas à emporter pour le soir et rentrons au frais à l’hôtel car la chaleur dans la ville commence à tomber mais elle est encore accablante.

Le parcours prévu pour demain est encore court avec environ 55 kilomètres jusqu’à Nacaome. Si nous partons tôt nous devrions échapper aux grosses chaleurs de l’après-midi.

J36 - mardi 11 février 2020 - Choluteca - Nacaome

Distance parcourue : 51,38 Km - Moyenne : 17,24 Km/h

Dénivelé montant : 264 m - Pente montante Maxi : 5 %

Dénivelé descendant : 274 m - Pente descendante Maxi : 4 %

Altitude départ : 50 m - Altitude arrivée : 40 m - Altitude Maxi : 83 m

Heure de réveil : 6h45 - Heure de départ : 8h00 - Heure d'arrivée : 11h45

Hôtel = hotel Nacaome – chambre deux lits – climatisation – salle de bain avec douche froide – Wifi – vélo devant la chambre dans cour fermée – 600 Lampiras (environ23 Euros)

La rue sur laquelle donne la fenêtre de l’hôtel est un peu bruyante à partir de 5 heures du matin et la climatisation n’est pas très discrète non plus. Notre sommeil de fin de nuit n’est donc pas très profond. Pour compenser nous jouons un peu les prolongations et sortons des lits vers 6h45.

Les préparatifs de départ sont rapides. Nous prenons ensuite la direction de la station d’autobus où il y a beaucoup de petits restaurants. Nous y prenons notre petit-déjeuner avec un poulet salade et chips de banane. Nous commençons notre parcours du jour à 8 heures.

Le parcours est assez facile malgré quelques petites montées et descentes sur tout le trajet. Sur tout le parcours ce sont des paysages de collines arides avec une petite végétation grillée par le soleil. Il y a régulièrement des grands espaces brulés et des incendies (volontaires ou accidentels ?).

Vers le kilomètre 15 nous nous arrêtons un moment à l’ombre pour boire et manger une orange. Avant que nous ayons terminé l’orange une voiture s’arrête à notre niveau. Trois personnes en sortent. Un homme porte une caméra, une jeune femme un micro et un autre, qui est probablement le chauffeur, les accompagne. Nous avons droit à une petite interview. C’est très limité à cause de notre niveau d’espagnol aggravé par le bruit des camions et autres véhicules. C’est Jean-Claude qui a le plus de choses à dire et sur qui se braque surtout la caméra. Je ne suis pas certain que tout ce qu’il dit, mélange de français, italien et espagnol, soit compréhensible et exact mais je ne doute pas que ces professionnels se débrouilleront pour extraire ce qui est utilisable dans tout cela. Nous reprenons ensuite la route avec la voiture qui nous suit et le cameraman qui nous filme en mouvement. La route est plutôt descendante à cet endroit et le vent est plutôt favorable.

Nous passons ensuite pour la première fois au bord du pacifique. Ce n’est pas le « grand » océan mais juste la bordure de la baie de San Lorenzo. Pour voir vraiment l’océan il faudra encore attendre quelques jours et passer la frontière du Salvador.

Nous faisons une nouvelle pause boisson au kilomètre 33 à un arrêt de bus où des vendeuses attendent le client. Il y en a une qui propose des jus naturels en sachets plastiques. Le prix est encore de 10 Lampiras (environ 0,385 Euro), c’est frais et bon.

Nous arrivons en bordure de la ville de Nacaome vers 11h15. La ville est un peu à l’écart de la panaméricaine. Il y a un hôtel au bord de la panaméricaine mais il n’y a pas beaucoup de commerces dans le coin et il y a beaucoup de camions qui circulent sur la route. Jean-Claude y va pour avoir une idée de prix et revient en me disant que les chambres sont à 535 Lampiras mais que c’est complet. C’est bizarre à cette heure de la journée mais ce n’est pas grave car nous serons probablement plus au calme en ville.

Nous prenons la direction du centre-ville et trouvons facilement un hôtel très correct et à un prix acceptable de 600 Lampiras (environ 23 Euros) pour une chambre climatisée à deux lits. L’hôtel est au calme, il y a le wifi, les chambres sont au rez de chaussée et donnent toutes sur une cour qui est se ferme avec un portail. Tout est parfait pour nous et nous nous installons ici à 11h45.

Après la douche et la lessive nous allons faire un tour sur le grand marché de la ville et nous y déjeunons. Comme hier il fait très chaud et nous rentrons à l’hôtel pour profiter un peu de la fraicheur de la chambre.

Demain nous devrions quitter le Honduras et entrer au Salvador. La frontière est à environ 35 kilomètres de Nacaome où nous sommes actuellement. Nous devrions faire étape à Santa Rosa De Lima au Salvador après un parcours de 55 kilomètres environ. Ce devrait être un peu plus vallonné qu’aujourd’hui mais sans grande difficulté.

J37 - mercredi 12 février 2020 – Nacaome (Honduras) – La Union (Salvador)

Distance parcourue : 78,73 Km - Moyenne : 15,53 Km/h

Dénivelé montant : 562 m - Pente montante Maxi : 8 %

Dénivelé descendant : 586 m - Pente descendante Maxi : 5 %

Altitude départ : 40 m - Altitude arrivée : 16 m - Altitude Maxi : 117 m

Heure de réveil : 6h45 - Heure de départ : 8h00 - Heure d'arrivée : 15h30

Hôtel = Hospedaje Santa Martha - chambre deux lits avec ventilateur – douche froide – Wifi – vélo dans cour devant la chambre – 15 USD

Nous nous réveillons vers 6h45 ce matin après une bonne nuit dans des lits confortables. Nous quittons rapidement l’hôtel et partons en direction de la Panaméricaine. Nous prenons notre petit déjeuner à la sortie de la ville et commençons notre parcours du jour vers 8 heures.

C’est un peu plus vallonné que les jours précédents avec quelques pentes entre 6 et 8% mais cela reste un parcours facile. Le vent nous aide aussi puisqu’il nous l’avons dans le dos sur cette première partie du parcours. Les paysages sont inchangés. Ce sont toujours des collines grillées par le soleil et des ruisseaux et rivières presque à sec.

Nous faisons une pause boisson vers le kilomètre 22 environ à un arrêt de bus où des femmes vendent des jus naturels. Les gens qui sont ici sont amicaux et ils ont envie de parler. Cet arrêt est donc un peu plus long qu’à l’habitude. Le jus naturel est fabriqué juste en dessous de l’arrêt de bus mais tout est déjà broyé et nous ne voyons pas les fruits.

Nous arrivons ensuite rapidement à la frontière où se trouvent des changeurs qui nous permettent de convertir les quelques Lampiras qu’il nous reste en USD (Dollar américain) qui est la monnaie utilisée au Salvador. Il y a une voie à gauche pour les véhicules lourds et une à droite pour les autres. C’était la même chose à la sortie du Nicaragua et c’est très bien car il y a beaucoup de camions qui traversent ces frontières. La sortie du Honduras est très rapide. Il n’y aucune question et aucune taxe à payer. Il suffit de donner le passeport et de mettre quatre doigts de la main droite sur l’appareil qui contrôle les empreintes digitales. Comme à l’entrée au Honduras c’est une imprimante qui se charge de tamponner le passeport.

Il faut ensuite traverser un pont pour passer à l’immigration du Salvador. Trois personnes habillées de blanc, équipées d’un masque qui leur couvre la bouche et le nez et munies d’un thermomètre frontal contrôle la température de toutes les personnes qui arrivent en leur demandant quels pays ils ont visités récemment. Ce contrôle ne prend qu’une minute environ. Il n’y a pas de difficulté à l’immigration non plus et pas de taxe à payer. Les seules questions posées sont « est-ce que c’est votre première visite au Salvador » et « quelle est votre ville de destination ». Ceci ne prend pas plus de deux minutes et les passeports nous sont rendus sans aucun tampon prouvant l’entrée légale dans le pays. Je demande à la fille du guichet si elle n’a pas oublié de tamponner les passeports. Elle me dit qu’il n’y a pas de tampon d’entrée ici. Il y a un guichet des douanes un peu plus loin. Je demande une deuxième fois et j’obtiens la même réponse. C’est un peu bizarre mais cela semble normal.

Nous rentrons nos passeports et prenons la route en direction de Santa Lima De Rosa qui est la destination prévue mais qui n’est qu’à une quinzaine de kilomètres et il n’est que 10h30. Deux ou trois kilomètres plus loin il y a un barrage où deux hommes contrôlent les passeports de toutes les personnes qui passent. Ils nous posent par curiosité les questions habituelles « d’où nous venons et où nous allons » et vérifient nos passeports qu’ils nous rendent rapidement. Pendant le contrôle ils parlent entre eux du tampon du Nicaragua. Je profite de l’occasion pour demander une nouvelle fois si c’est normal que nos passeports n’aient pas été tamponnés. C’est normal et l’homme me dit que ne devrions pas en avoir non plus au Guatemala. Je ne pose pas plus de questions mais il est possible que le tampon du Nicaragua soit valable dans tous les pays du CA-4 (Nicaragua – Honduras – Salvador – Guatemala).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_d%27int%C3%A9gration_centram%C3%A9ricain

Nous arrivons ensuite rapidement à une intersection où nous pouvons faire le choix entre suivre l’itinéraire prévu et faire étape à Santa Rosa De Lima ou prendre la direction opposée qui conduit à « La Union ». L’étape à Santa Lima De Rosa avait été choisie pour faire une étape courte pour le cas où le passage des frontières aurait été long (cas pour entrer au Nicaragua) mais cela a été très rapide aujourd’hui et nous pouvons facilement pousser jusqu’à La Union. Ce changement aurait l’avantage d’un parcours plus proche de l’océan et moins montagneux. Nous ne réfléchissons pas longtemps et prenons la direction de La Union après avoir vérifié qu’il y a des hôtels dans cette ville.

Vers midi nous faisons la pause déjeuner dans un petit restaurant de campagne. Le restaurant est propre et la nourriture est bonne et bien présentée. L’assiette riz, salade, poulet coûte 2,5 USD.

Nous arrivons au centre de La Union vers 15 heures. Lorsque nous nous arrêtons à proximité d’un hôtel pour demander les prix un homme en moto nous aborde. Il possède un bateau (Bote ou Barco en espagnol) et il nous propose de nous emmener au Nicaragua en évitant le Honduras. Nous en venons et nous ne voulons pas y retourner. Je suppose que c’est le bateau qu’a emprunté le jeune couple que nous avons rencontré à Leon. Je lui demande les prix et ils correspondent (35 USD par personne + 10 USD par vélo). L’homme nous conseille un hôtel pas cher « l’hospedaje Santa Martha » et nous explique comment y aller. Nous le remercions et allons d’abord demander les prix de l’hôtel qui est le plus proche de nous. Il propose des chambres climatisées avec salle de bain privée à 25 USD, des chambres climatisées avec salle de bain partagée à 20 USD et des chambres avec ventilateur et salle de bain partagée à 15 USD. Cet hôtel a le wifi disponible dans les chambres et une cour qui ferme pour stationner les vélos.

Nous poussons ensuite jusqu’à l’hospedaje Santa Martha qui n’est pas très loin. La chambre avec deux lits, ventilateur, salle de bain privée et wifi est à 15 USD. Il y a aussi une cour qui ferme la nuit où l’on peut stationner les vélos. La chambre est correcte et l’établissement est simple mais bien tenu. Nous nous installons ici pour cette nuit.

Nous sommes maintenant en dehors des traces préparées et l’étape de demain n’est pas encore définie. S’il n’y a pas d’hôtel avant ce sera un parcours d’environ 90 à 100 kilomètres jusqu’à Santa Maria ou Usulutan.

Bilan Honduras

Vélo

132,11 Kilomètres - D+ = 898 mètres - D- = 874 mètres

 

Argent

Durée du séjour dans le pays = 2 nuits et 2 jours

Dépenses courantes = 1 029 Lampiras (environ 36,58 Euros)

Taxes entrée = 3 USD (= 72 Lampiras = environ 2,77 Euros)

Dépenses totales (courantes + taxes) = 1 029 + 72 = 1 101 Lampiras (environ 42,35 Euros)

Dépenses totales par jour = 1 101 / 2 = 550,5 Lampiras (environ 21,17 Euros)

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